Préparer sereinement la rentrée des tout-petits

Après les nuits blanches et les premiers pas, le moment est venu d’emmener le tout-petit à l’école. Si certains parents sont sereins et confiants, d’autres en revanche redoutent ce moment fatidique de la séparation. Le côté psychologique et émotionnel est souvent touché par la rentrée des classes. C’est pour cela qu’il ne faut pas négliger la préparation, tant psychologique que matérielle.

Le choix de l’école primaire

Pour que la rentrée se passe bien, il est important que l’école soit à la hauteur des besoins de l’enfant et de la satisfaction des parents. Par exemple cette école à Montréal propose une pédagogie dans la pure tradition de l’éducation française. Forte de ses plus de 20 ans d’expérience dans l’enseignement et l’éducation, elle propose des classes à effectifs réduits pour que chaque élève puisse s’épanouir correctement. En outre, elle propose une cafétéria pour que les élèves n’aient pas de difficultés lors du déjeuner. De 16h à 18h, les petits étudiants peuvent étudier tranquillement en attendant le retour à la maison. Toujours pour le bon épanouissement de l’enfant, des activités parascolaires sont proposées par l’école primaire. Plus tard, les enfants seront cultivés et responsables, ce qui fait le bonheur des parents.

La préparation psychologique

Tant pour les parents que pour les enfants, la première rentrée des classes peut être source d’angoisse. C’est pour cela qu’il est important que les 2 parties soient psychologiquement prêtes. Ainsi, il est primordial d’évoquer la situation à l’enfant plusieurs jours, voir plusieurs mois à l’avance. Si l’enfant va déjà à la crèche, l’intégration en classe ne devrait pas être difficile. Par contre, un enfant qui a l’habitude de rester chez lui avec sa mère risque de prendre mal la séparation.

C’est d’ailleurs normal que le premier, voire les premiers jours d’école, l’enfant pleure. Là, les parents pourraient être tentés de « repousser » le premier jour d’école, ce qui ne ferait que retarder l’inévitable. L’entrée en petite section se fait à l’âge de 3 ans. Passé cet âge, l’enfant risque d’être en retard par rapport à ses camarades du même âge. Les parents doivent avoir confiance aux enseignants. Ces derniers, grâce à leur expérience, savent comment agir face aux pleurs de l’enfant.

La préparation matérielle

A côté de la préparation psychologique, il y a la préparation matérielle. Ainsi, il est important de choisir des fournitures qui assurent une bonne acquisition des savoirs par l’enfant.

Pour ce faire, opter pour des affaires adaptées à son âge et demander conseils à l’établissement avant l’acquisition. Avoir de bons matériels favorise, non seulement l’apprentissage de l’enfant, mais aussi sa motivation pour les études. Certes, faire l’achat des fournitures peut être déconcertant compte tenu du vaste marché mais c’est un passage obligé pour tous les parents. En outre, la veille de la rentrée, ne pas oublier de faire une dernière vérification des affaires. A part les fournitures, de nouveaux habits et de nouvelles chaussures sont aussi une bonne source de motivation et de joie pour le petit écolier.